La Méthode Chiapi
Arrêter de fumer de manière naturelle et sans sensation de manque
Institut Chiapi
Qu'est ce que la Méthode Chiapi ?
Issue de la Medecine Traditionnelle Chinoise, la Méthode Chiapi est une technique d’acupuncture permettant l’arrêt et le sevrage de l’addiction au tabac mise au point par le medecin, Yves REQUENA.
Elle consiste à piquer deux points d’acupuncture, aux points de la rhinofaciopuncture et à la stimulation de la vésicule billiaire situés sur la face latérales du nez.
La Méthode Chiapi élimine le besoin de fumer dès la première séance dans 80% des cas et dans 90% des cas avec une deuxième séance.
- Méthode naturelle
- Convient à toutes les personnes souhaitant arrêter de fumer
- Sans sensation de manque ni médicament
- Deux points d'acupuncture
- 80% de réussite après la première séance
- Séance de 15 minute seulement
Les effets de la Méthode Chiapi
La puncture du point Chiapi élimine le besoin de fumer dès la première séance dans 80% des cas. Et dans 90% des cas au moins avec une deuxième séance voire une troisième. Tout se passe comme si on appuyait sur un interrupteur qui couperait le circuit de la dépendance tabagique. Le besoin étant supprimé, on ne ressent pas les symptômes de manque difficiles à supporter et habituellement responsables d’une grande majorité des rechutes.
Cette méthode exerçant une désintoxication pure et simple, l’ex-fumeur ne ressent ni énervement, ni obsession ni phénomènes de compensation par la nourriture ou l’alcool, évitant ainsi la plupart des inconvénients du sevrage, dont notamment la prise de poids.
Institut Chiapi
Différencier manque et envie
La méthode Chiapi élimine le manque, c’est-à-dire le besoin de nicotine mais elle n’ôte pas la totalité des envies.
Le manque : il est dû au besoin de nicotine et se traduit par de l’énervement, de l’irritabilité, de l’impatience. La personne en manque se dit être comme « un lion en cage ».
L’envie : elle est produite par l’habitude de consommer et de se comporter avec la cigarette et peut être comparée à un caprice « Tiens, je m’en fumerais bien une » comme on pourrait se faire plaisir avec un morceau de chocolat ou un café.
Le fait que l’acupuncture élimine le manque, le sujet ne ressent ni énervement, ni obsession, ni perturbation, et par conséquent connaîtra aucune difficulté, ou très mineure, vis-à-vis de la tentation, de l’habitude ou du geste.
La séance
Cette manœuvre, en apparence simple, nécessite une formation courte et un entraînement à minima des professionnels de santé non acupuncteurs.
Deux points d'acupuncture
Le praticien insère une aiguille de chaque côté du nez. La piqûre procure tout au plus une sensation désagréable mais non douloureuse, un peu comme lorsque l’on respire une rose de trop près ou lorsque l’on est piqué par un moustique.
Temps de pose
Les aiguilles restent posées durant environ 15 minutes puis, pour renforcer la stimulation du point, sont stimulées manuellement durant 3 à 5 secondes avant d’être enlevées.
Pour qui ?
N’ayant aucune contre-indication (ni même la grossesse), cette méthode s’adresse à tous les fumeurs qui ont décidé d’en finir avec la cigarette et ont eu le déclic, quels que soient la quantité de tabac fumée et le nombre d’années de tabac.
Institut Chiapi
Le déclic
Que l’on s’arrête parce qu’on s’inquiète pour sa santé, parce que le prix du paquet met en péril le budget familial ou parce que la dépendance au tabac devient insupportable, toutes les motivations sont bonnes à partir du moment où l’on a le déclic.
On distingue 3 périodes :
1. Période bleue
Elle dure 5 et 10 ans environ. On commence à fumer : toutes les cigarettes sont bonnes, on n’a aucune envie d’arrêter. Fumer constitue un acte de partage, de convivialité et une identification à un groupe ou un clan.
2. Période grise :
Après 5 à 10 ans, les cigarettes perdent de leur saveur. Seules 3 à 4 cigarettes par jour sont fumées avec plaisir, souvent après le café le matin, après les repas et dans les grands moments de repos. On se plaint de sentir le tabac, d’avoir le teint gris, d’être essoufflé et dépendant. On se dit qu’il faudrait arrêter de fumer mais on n’en a pas le courage. Par habitude, négligence ou inquiétudes de se séparer de la cigarette, on peut ainsi continuer à fumer 10 ans de plus, voire 20, 30 ou 40 ans avant de se décider à arrêter.
3. Période arc en ciel :
C’est le déclic : un beau jour, on se lève et on se rend compte qu’on en a marre d’être esclave, marre de dépenser une fortune dans les cigarettes, marre de ne pas écouter les enfants qui nous demandent d’arrêter, marre d’être essoufflé au moindre effort, marre de cette épée de Damoclès au dessus de la tête qui nous rappelle sans cesse les risques pour notre santé.
Le jour où on se dit qu’on n’a pas besoin de cigarettes pour être heureux ou qu’on sera bien mieux dans sa peau sans cigarettes, cela signifie qu’on est « mûr » pour arrêter. Que l’arrêt se fasse tout de suite ou qu’il soit programmé à une date précise, parfois symbolique (jour d’anniversaire, jour de l’an…), ce jour est toujours une victoire pour soi et sur le tabac. Car ensuite plus les jours passent, plus les mois et les années passent, et plus les effets heureux d’avoir arrêter se font sentir.